"Gloire au Père"
Abigahel
Norn Voleuse
Possède l'étrange faculté de se transformer en panthère des neiges et d'invoquer les enfants de l'Esprit de la Guivre des neiges.
Née en 1308
15 ans en 1322
17 ans en 1325
20 ans en 1328
Père inconnu, Ancienne espèce disparut ?
Mère : Havroun de la panthère des neiges (disparue dans les Brumes a sa naissance, avec l’esprit de la panthère, aucun Havroun n’a été remis en place après sa disparition)
J’ai grandi dans le Pavillon de la Panthère des Neiges à Hoelbrak, même si je passais la plupart de ma jeunesse dans la forêt de Boréalis dans les Contrefort du Voyageur. Les Chamanes de la Panthères essayèrent de me tuer lors de ma naissance. Trouvant mon existence non naturelle. L’intervention de L’esprit de la Panthère sauva ma jeune vie, mais m’enleva ma mère qui disparut dans un souffle dans la Brume avec L’Esprit. Mon nom fut le dernier mot qu’elle prononça, Abigahel, signifiant « Gloire au père ». Mon père, lui, disparut avant ma naissance, personne ne voulut m’en parler, seul sa petite taille me revenait en écho de mes questions. Je compris ma différence très vite. Les Chamanes gardaient mon existence au secret et tentèrent de me tuer un nombre incalculable de fois…
Beaucoup de questions furent posées autour de ma naissance et ma différence, mais le mystère planait et plane encore autour de moi.
De 1308 à 1322, je vécu au Pavillon de la Panthère des neiges. Dès mon plus jeune âge mon existence ne fut connue que par quelque rare chamanes de la panthère qui a été choisi parmi les plus haut placer. Pendants donc les première années de ma vie je ne connue qu'une seule pièce, mal éclairé n'ayant qu'une meurtrière comme fenêtre. De temps à autre à heure fixe pendant mon repas un chamane venais m'examiner, me poser des questions sur pourquoi à mon avis j'étais ici, pourquoi j'étais si petite... Quel imbécile quand j'y repense je n'en savais rien sur ma condition à cette âge-là.
A partir de mes 10 ans en 1318, ils commencèrent à mettre des choses étrange dans ma nourriture, je commençai à être malade... Et je compris, plus aucune nourriture qu'il m’offrait ne franchiser mes lèvres. Je commençai donc à aller mieux après quelque jour mais... le manque de nourriture commença a ce faire sentir, mon corps déjà si fluet et petit commença presque a rétrécir, au bout d'une semaine, je ne pouvais plus bouger de mon lit, le visage tournée vers la meurtrière, le maigre rayon de soleil qui filtrer sembler m'attirer. Je fini par réussir à me lever a force de ténacité sur moi-même pour me rapprocher de lui, la chaleur parcouru ma peau lorsque le soleil me toucha, je plissai les yeux pour apercevoir une chouette par la petite ouverture, elle ne bouger pas, elle sembler attendre quelque chose. Je fini par lui raconter mon histoire des heures durant elle resta la a m'observer, puis elle partit, me laissant la bouche sèche et le visage ruisselant de larmes. Le lendemain, elle revint, je n'avait pas bougé de place, les force me quitter peu à peu, dans le bec de ma nouvelle compagne ci trouver une miche de pain, cette vision sembler irréelle lorsqu'elle fit en sorte de lâcher la miche sur le sol près de moi. Je m'y jeta affamée après une semaine de jeûne, lui laissant tout de même quelque miettes pour la remercier. A partir de ce jour, la chouette revint tous les jours, la vie sembla plus gaie dans le trou ou je me trouver. A chaque visite je refuser que le chamane ne s'approche trop, il sembler tout de même s'étonner que je me rétablisse et continuer à vivre malgré que je ne touche plus la moindre nourriture qu'il m’offre. Il noter, il noter tout sur ses parchemins qui sembler t'il me suivre depuis ma naissance, ou chaque observation de ma croissance ont été rédigé, le secret de mon exclusion été ici, sur ce parchemin. Je commençai alors à explorer les possibilités de fuite de cet endroit.
En 1322 à mes 15 ans, mon plan final été enfin en place, depuis 5 ans je noter mentalement les aller et venue des chamanes, les jours de leurs visites, le roulement des chamanes, l'emplacement où il déposer le parchemin pour m'examiner, le temps exacte qu'il leurs faillaient pour sortir, le temps qu'il mettait pour s'accoutumer a l'obscurité ambiante de la pièce. Mon esprit avait tout analysé, et cela pendant 5 ans. Mon plan été prêt, aujourd’hui été le jour de visite d'un chamane particulièrement lent, feignant quand il s’agissez de moi, à partir du moment où il entrée dans la pièce il lui fallait environ une demi minute pour que ses yeux s'habitue à la pénombre temps pendant lequel il laisse la porte ouverte et pose le parchemin sur la table juste a coter de lui, temps amplement suffisant qu'il me fallait après avoir bourrer mon lit pour qu'il prenne forme humaine au yeux endormi du chamane, de me faufiler a coter de lui de subtiliser le parchemin et de sortir de la pièce tout en refermant derrière moi. Mon plan été parfait.
En 1325 au matin de mes 17 ans, j'entendis les cors de la Grande Traque vrombir dans la Forêt de Boréalis ou j'avais élue domicile 3 ans auparavant après mon évasion du Pavillon de la Panthère des neiges, 3 ans pendant lequel j'avais vécue parmi les panthères elles-mêmes. Etudiant le parchemin, sur lequel été écrit des mots, des phrases énigmatique et la question qu'ils me posaient depuis ma naissance. Pourquoi étais-je si petite ? Sa elle n'en savait toujours rien, même si la mention de la race des nains sur le parchemin l'intriguer. Pendant c'est 3 années mon corps n'avais que peu grandit, mes épaules restaient faibles et étroites, mon allure générale était fluette, pâle de peau pour avoir grandi dans un endroit sombre, mes yeux bleu clair que j'écarquillais souvent pour chaque chose nouvelle, malgré le voile blanc qui me recouvrait partiellement ma vue et me rendait quasiment aveugle, j'appris a me déplacer selon les formes floues de mon entourage et au vrombissement du sol et de l'air m’entourant, des grands cheveux roux sombres tombaient généralement en cascade dans mon dos mais que je tressais fermement chaque matin pour qu'il ne me gêne lors de mes gestes, mes membres étaient longs, fins et agiles,mes doigts virevoltaient lorsque j'effectuais mes assouplissements, mon corps élastique me permettait des choses impossibles pour n'importe quel Norn comme grimper aisément a un arbre ou me faufiler gracieusement entre les arbres lors de mes courses avec les panthères.
Les panthères m’accueillirent parmi elle lors d'une nuit d'orage, elles m’apprirent à chasser, à grimper au arbre, comment me nourrir seule, me camoufler, devenir une ombre parmi les ombres, masquer mes traces et mon odeur. L'Esprit de la panthère continué à me protéger malgré tout je sentais sa présence bienfaisante près de moi. Mais dans tout cela la solitude me tenait, je n'avais communiqué avec aucune être humain depuis mon évasion et aujourd'hui été le grand jour ! Le jour de la Grande Traque, je ramènerai le plus gros gibier et je la remporterai !
Ce jour-là je dû mettre à contribution toutes me aptitude d'analyse ainsi que la flexibilité de mon corps pour remporter le plus gros gibier, malheureusement aucun n'été de taille à me faire remporter la Grande Traque. En fin de journée, désespérée de ne rien trouver, une vieille amie que je n'avais pas vue depuis fort longtemps vint à ma rescousse. Je n'en croyais pas mes yeux de voir ma sauveuse d'il y a 8 ans. La chouette été là, poser sur l'arbre face a moi, ses plumes argentée luisez sous le soleil déclinant et ses grand yeux intelligents sembler me dire de la suivre.
Je vainquis le plus gros gibier que la Grand Traque es connue, Issomir la guivre des glace. Son Esprit me bénie pour le respect que je lui apportai lors du dépeçage et me laisse ainsi invoquer ses enfants, les guivres des neiges à volonté.
Depuis ce soir-là, les yeux de mon amie vieille sur moi, tatoué dans mon dos elle surveille mes arrières, comme elle le fait toujours depuis le début.
"Qui fait preuve d'audace rendra sa légende éternelle." Les Esprit qui guider mes pas semblé vouloir rendre cela possible.
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